L'HOMÉOPATHIE, HÉRITIÈRE D'UN PARACELSE

 L'HOMÉOPATHIE, HÉRITIÈRE D'UN PARACELSE

J'ai déjà dit qu'à l'instar de l'astrologie, l'homéopathie était aussi la victime des zététiciens payés par les université américaines pour la discréditer. Ils ont réussi à la faire dérembourser, ce qui n'est pas tant une question d'argent car cette "solution thérapeutique" n'a jamais ruiné la sécu, qu'un défaut de reconnaissance comme : médecine efficace.

Je publie ici cette vidéo pour rappeler que la vision du monde de son créateur, était plus proche de la vision Traditionnelle de la médecine que pratiquaient les astrologues puisque j'ai rappelé qu'un Médecin comme Rabelais se devait de connaître l'astrologie pour évaluer "un terrain" chez ses patients avant que de lui prescrire tout traitement. L'homéopathie a notamment gardé cette idée de "terrain" et "d'anamnèse" consistant à parler avec le patient pour mieux le connaître et l'évaluer.

L'application de l'astrologie ne se limite pas à la médecine, mais la connaître était INDISPENSABLE au médecin d'antan pour faire son diagnostic. Un C.G Jung, était "psychologue-médecin" et non pas homéopathe, mais se revendiquait aussi de l'héritage d'un Paracelse, lequel était germanophone. Et j'ai rappelé que les universités allemandes ont, plus longtemps que les françaises, continué d'enseigner l'astrologie. A ce titre, si C.G Jung est surtout connu pour son exploration de la tradition alchimiste, il possédait néanmoins aussi l'outil de l'astrologie. D'où "la puissance" de ses vues thérapeutiques car fondées sur : LES SCIENCES MÈRES, dont il connaissait l'histoire et la pratique.

 

C.G JUNG EST DONC AVANT TOUT UN MÉDECIN

Un véritable "médecin" au sens Traditionnel du terme car de même qu'un Nostradamus est connu pour avoir enrayé la peste, la mission du "médecin" lorsqu'il était encore chaman, était de réguler et organiser son environnement pour qu'il puisse prospérer. Un chaman d'Altaï par exemple sait que "sa mission" est de protéger le territoire et ses habitants pour que les terres restent fertiles, le gibier abondant, les divers "fléaux" s'éloignent, etc. C'était donc traditionnellement, aussi bien chez les chamans que chez les druides : une fonction SPIRITUELLE qui exigeait de nombreuses connaissances ! Et aussi : des facultés spirituelles à éloigner "les mauvais esprits".

J'ai déjà parlé de la médecine traditionnelle chinoise, mais en Europe on peut considérer que l'homéopathie est la médecine la plus fidèle à l'esprit de la Tradition médicale. Et c'est bien à ce titre qu'elle est aussi attaquée et discréditée. Ce documentaire nous le rappelle... 

J'ai toujours été contre "l'industrialisation" de l'astrologie vers laquelle les créateurs de logiciels vendant du thème sur ordinateur la menait. Mais que dire d'une "industrialisation de la médecine" prescrivant de même traitements sans étude de leur métabolisme ? Ce qui est remède pour l'un peut pourtant être poison pour l'autre ! Non, tous les individus ne réagissent pas de la même façon ! Les homéopathes s'en plaignent à juste titre... 

Nous sommes là dans "le règne de la quantité" dont parlais un René Guénon qui nuit obligatoirement à LA QUALITÉ ! On fait croire actuellement que "la quantité" est un gage de succès, plus le chiffre est grossi, plus il convainct (voir la triche sur le nombre de victimes du Covid) mais je rappelle, moi, que c'est ce qui est RARE qui a réellement valeur. Certainement pas la quantité ! Ca n'a jamais été le cas et ça ne le sera JAMAIS ! 

De la même façon, je rappelle que : "par définition, l'élite est peu nombreuse"... Cessez donc de vous laisser convaincre par des chiffres truqués et retrouvez la capacité de réfléchir, SVP !

"L'homéopathie ne heurte pas la rationalité, elle heurte la matérialité, ce n'est pas la même chose" dit un intervenant dans le documentaire. Ce que peut aussi dire un astrologue...

Méfions-nous donc de ces gens qui ont troqué leur cerveau pour un vile "tiroir caisse" à prendre la monnaie. Ils ne sont pas plus intelligents, ils sont simplement plus cupides ! Ce n'est pas la même chose, non plus.