JE L'ATTENDAIS CELLE-LÀ, ET LA VOILÀ !
KARMANANA, ET COMIQUE DE RÉPÉTITION
J'ai déjà souligné le fait que cette propagande et son "matraquage" ont exactement été orchestrés comme la campagne "anti-tabac" consistant, de la même façon, à faire passer le fumeur pour un criminel et opposer fumeur et non fumeur.
On s'étonnera que nul n'ait noté l'outrance du propos qui, en soi, le discrédite à mes yeux. Mais voilà, les "lobotomisés de la télé" sont réellement LOBOTOMISÉS ! C'est même visible à l'oeil nu, dans la rue : tous ces "zombies masqués" qui ne m'inspire qu'une réflexion (matraquée, elle aussi) : "Tu t'es vu quand t'as bu ?". Alors voilà mon anti-dote : LE VACCIN TUE ! A répéter des millions de fois et à rabâcher, matraquer en lieu et place du "FUMER TUE". Je vous assure que j'ai essayé de tuer les imbéciles avec ma cigarette et non : ça ne marche pas et les voilà qui courent d'eux-mêmes à l'abattoir... Quelle belle vengeance pour un fumeur heureux ! ;-) Bon, mais je voudrais ne pas être rancunière, c'est mauvais pour mon karma (PS : m'en fous, je suis "libérée" !).
Ce qui me permet d'affirmer haut et fort cette vérité :
"On est jamais victime que de soi-même !"
Une grande part de mon parcours, moi qui ait "une sainte horreur de me répéter" est bien d'avoir appris à "enseigner par la répétition".
Revenons-en à la légendaire Psychologie des foules alors. Gustave Le Bon est éternel, un peu comme le Tolstoï de Guerre et paix dont a parlé Alain, certes à un niveau moins élevé, mais bien utile quand même. Lisez chez nos amis québécois (classiques.uqac.ca) Psychologie du socialisme pour comprendre la mentalité écolo-gauchiste américaine ou française.
Mais voyons le Covid-19, les vaccins, le confinement, en attendant Grand Reset, paupérisation et dépopulation. Tout cela se fait comme à la parade. Et Le Bon d’expliquer en 1889 que malheureusement les humains adorent cela, être fanatisés pour des stupidités. Les humains sont devenus une seule foule, depuis que la télé a remplacé le séparé (Debord). Technique pour fabriquer la foule qui obtempère alors ?
Pour Gustave Le Bon il y a une première clé, l’affirmation :
L’affirmation pure et simple, dégagée de tout raisonnement et de toute preuve, est un des plus sûrs moyens de faire pénétrer une idée dans l’esprit des foules. Plus l’affirmation est concise, plus elle est dépourvue de toute apparence de preuves et de démonstration, plus elle a d’autorité.
Affirmation ? Le virus tue, vous allez crever ; confinez-vous, vaccinez-vous, restez masqués à hauteur de six milliards d’imbéciles. On a un quart de vaccinés en France en trois mois, un milliard à l’échelle du monde. Et cela ne fait que commencer. Où je vis on ne dit plus bonjour, on demande si tu es vacciné.
Avec l’affirmation, la répétition : et avec les six mille chaînes info, ce n’est pas cela qui manque donc : vaccinez-vous, confinez-vous, restez masqués, crevez de peur.
L’affirmation n’a cependant d’influence réelle qu’à la condition d’être constamment répétée, et, le plus possible, dans les mêmes termes. C’est Napoléon, je crois, qui a dit qu’il n’y a qu’une seule figure sérieuse de rhétorique, la répétition. La chose affirmée arrive, par la répétition, à s’établir dans les esprits au point qu’ils finissent par l’accepter comme une vérité démontrée.
On répète car c’est trop beau : « il n’y a qu’une seule figure sérieuse de rhétorique, la répétition. »
Ensuite, et c’est trop drôle, cette répétition de l’information produite, ce que le maître de l’honorable Sigmund Freud appelle la contagion :
Lorsqu’une affirmation a été suffisamment répétée, et qu’il y a unanimité dans la répétition, comme cela est arrivé pour certaines entreprises financières célèbres assez riches pour acheter tous les concours, il se forme ce qu’on appelle un courant d’opinion et le puissant mécanisme de la contagion intervient. Dans les foules, les idées, les sentiments, les émotions, les croyances possèdent un pouvoir contagieux aussi intense que celui des microbes.
On n’avait pas la télé, on avait le cabaret, lieu d’abrutissement des masses, dont a très bien parlé Mirbeau (voyez L-628) ;
C’est surtout par le mécanisme de la contagion, jamais par celui du raisonnement, que se propagent les opinions et les croyances des foules. C’est au cabaret, par affirmation, répétition et contagion que s’établissent les conceptions actuelles des ouvriers…
Mais avançons plus au cœur des ténèbres du monde moderne, à la manière de Conrad et de son Walter Kurz. Le Bon a compris aussi que les couches supérieures vont être gangrenées, vont devenir gauchistes et communistes (puis écologistes, puis covidistes) comme la base. Et cela donne :
On remarquera que, dans les exemples analogues à ceux que je viens de citer, la contagion, après s’être exercée dans les couches populaires, passe ensuite aux couches supérieures de la société. C’est ce que nous voyons de nos jours pour les doctrines socialistes, qui commencent à gagner ceux qui pourtant sont marqués pour en devenir les premières victimes.
Oui, aujourd’hui tout le monde aussi veut mourir, à commencer par le petit blanc qui pollue trop. Il en devient extatique, au sens célinien, tout à sa rage de mourir. Si la guerre contre la Russie ne se fait pas, ce sera le Reset. Viva la muerte.
Après, Le Bon rappelle que certains êtres (mais n’est pas Napoléon qui veut) et surtout certaines idées acquièrent du prestige :
Ce qui contribue surtout à donner aux idées propagées par l’affirmation, la répétition et la contagion, une puissance très grande, c’est qu’elles finissent par acquérir le pouvoir mystérieux nommé prestige.
Je répète, le prestige n’est pas forcément une personne; ce peut être un vaccin :
Le prestige est en réalité une sorte de domination qu’exerce sur notre esprit un individu, une œuvre, ou une idée. Cette domination paralyse toutes nos facultés critiques et remplit notre âme d’étonnement et de respect.
Il y a bien sûr, comme aux temps de Molière, les prestigieux institutionnels :
Le prestige acquis, ou artificiel, est de beaucoup le plus répandu. Par le fait seul qu’un individu occupe une certaine position, possède une certaine fortune, est affublé de certains titres, il a du prestige, quelque nulle que puisse être sa valeur personnelle. Un militaire en uniforme, un magistrat en robe rouge ont toujours du prestige.
Le bon Dr Le Bon en oublie les médecins ! Mais à part Molière qui lui jettera la pierre et sa maladie ?
Il précise sa pensée :
Le prestige dont je viens de parler est celui qu’exercent les personnes ; on peut placer à côté le prestige qu’exercent les opinions, les œuvres littéraires ou artistiques, etc. Ce n’est le plus souvent que de la répétition accumulée. L’histoire, l’histoire littéraire et artistique surtout, n’étant que la répétition des mêmes jugements que personne n’essaie de contrôler, chacun finit par répéter ce qu’il a appris à l’école, et il y a des noms et des choses auxquels nul n’oserait toucher.
Cela rappelle la phrase géniale de son contemporain Léon Bloy : le jeune bourgeois qui aurait douté des ténèbres du moyen âge n’aurait pas trouvé à se marier ! C’est dans son exégèse.
Tout bourgeois devra être vacciné, masqué et confiné pour se marier !
Le Bon ajoute sur ce satané prestige :
Le propre du prestige est d’empêcher de voir les choses telles qu’elles sont et de paralyser tous nos jugements. Les foules toujours, les individus le plus souvent, ont besoin, sur tous les sujets, d’opinions toutes faites. Le succès de ces opinions est indépendant de la part de vérité ou d’erreur qu’elles contiennent ; il dépend uniquement de leur prestige…
Mais ne négligeons pas le prestige humain. On sait qu’aujourd’hui les hommes les plus populaires sont les plus riches (Gates, Arnault, Bezos, Musk, Zuckerberg). Le Bon évoque le lien du prestige et du succès (Bourla, Bancel, etc.) :
On voit, par ce qui précède, que bien des facteurs peuvent entrer dans la genèse du prestige : un des plus importants fut toujours le succès. Tout homme qui réussit, toute idée qui s’impose, cessent par ce fait même d’être contestée. La preuve que le succès est une des bases principales du prestige, c’est que ce dernier disparaît presque toujours avec lui.
Avec cette bourse qui monte plus haut que ce ciel gris et couvert de poussière, dont a parlé Philip K. Dick, on ne va pas mettre fin à leur prestige, à nos doctes vaccinateurs et experts en Grand Reset !
Et le pire est que pour Le Bon, l’humanité n’est pas bête au sens de Flaubert. Elle est comme ça, c’est tout.
Mais comme je citais Flaubert : « L’humanité a la rage de l’abaissement moral, et je lui en veux de ce que je fais partie d’elle. »
Nicolas Bonnal
Alors voilà mon anti-dote : LE VACCIN TUE ! A répéter des millions de fois et à rabâcher, matraquer en lieu et place du "FUMER TUE". Je vous assure que j'ai essayé de tuer les imbéciles avec ma cigarette et non : ça ne marche pas mais les voilà qui courent d'eux-mêmes à l'abattoir...
Quelle belle vengeance pour un fumeur heureux ! ;-) Bon, mais je voudrais ne pas être rancunière, c'est mauvais pour mon karma (PS : m'en fous, je suis "libérée" !)
ET VOUS TROUVEZ ÇA DRÔLE ? NON, C'EST PATHÉTIQUE !
TV. LOBOTOMIE VOUS LE PROUVE SCIENTIFIQUEMENT !
PS : mon assistant Elisabeth s'est remise à fumer depuis qu'elle a lu l'article le constatant : il y a moins de cas Covid chez les fumeurs, la nicotine les protégeant...
58 ans que j'ai raison chez les fous, vous dis-je... Si au moins ils étaient encore capables de lui dire ça ...
Non, personne n'aime ni ne défend LA VÉRITÉ à la télévision. Ceux qui y travaillent n'aiment que le "prestige" qu'elle accorde à leur médiocrité car oui, la télévision "magnifie" ce qui n'a rien de "magnifique"... Ce n'est qu'un "artifice" pour un monde "artificiel"où ils voudraient vous mener... Il convient donc de mépriser le "vu à la télé"...
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