CE MATIN, J’AI VOMI MON CAFÉ : LE DROIT À LA MISANTHROPIE…
Parce que je me suis réveillée en écoutant Alexandre Havard nous rappeler tout ce que l’homme a perdu de grandeur… Et pour moi, ceci commence avec Jeanne d’Arc que pourtant cet homme admire…
Elle n’est EN RIEN un modèle à mes yeux. Pourquoi ? Parce qu’elle se substitue aux « chevaliers inexistants », déjà ! C’était donc : le début de l’échec de l’humain. Car, une femme devrait prendre « les armes » ? Comment cela est-il possible ? Les armées ont été décimées ? Non : elles ont perdu tout courage, toute « inspiration divine » !!!
Il défend « la grandeur » mais celle de la femme : c’est de mettre « les armées de dieu au monde », non pas de prendre les armes ! Dès lors qu’elle doit s’improviser « chef des armées » : le problème est donc posé ! C’est que : la place est vacante. Qu’aucun homme résistant et courageux ne le fait à sa place comme il est dans l’ordre des choses de le faire. La force de l’homme étant faite pour servir et protéger la fragilité féminine. Fragilité physique, précisons-le, non pas morale.
Oui, ce que je dis est « sexiste », j’en conviens et je maintiens ce « point de vue sexiste » où la femme, si elle était correctement « complétée » par l’autre sexe n’aurait pas à prendre la tête des opérations. Elle est faite pour « inspirer l’homme » à le faire !
UNE POTICHE-ALIBI POUR EMBLÊME
Avez-vous remarqué comme on utilise en France des « figures féminines » comme emblême ? Jeanne d’Arc, puis Marianne pour la Révolution Française. C’est « une utilisation » dans un monde foncièrement misogyne qui, plutôt que se battre au nom de ce modèle féminin, l’arbore comme une des premières « potiches-alibi » de sa faiblesse ! Un champ de bataille, non, n’est pas la place d’une femme faite pour « assurer les arrières » et préserver : la descendance.
Quand « la femme inspiratrice » est sacrifiée sur l’autel de la « cause nationale » : là est le début de la fin !
Alors je voudrai donner un point de vue « vraiment féminin » si on veut bien me laisser disserter sur le sujet sans me couper la parole. Je n’ai jamais été « en rivalité » avec l’homme dans la mesure où j'ai toujours porté sur lui un « point de vue maternel » dominant naturellement « l’homme enfant » destiné à « grandir par amour »… Amour de sa mère, s’entend. Et qui est « sa mère » ? si ce n’est, notamment : la terre où il est né ? Où il parle « sa langue maternelle » ? Il y a là apparentement entre « la terre » et « la mère ».
On devra dès lors s’interroger comment dans notre monde « patriarcal » on a désigné « la terre » comme « la patrie » venant de pater ? En toute logique, ce devrait être « la matrie »… Oui, mais ça, ce serait dans un monde où « la mère » n’est pas considérée comme « propriété » du père.
Ce serait à Jeanne d’Arc, donc, de défendre ce qu’elle est pourtant supposée incarner comme femme ? Je ne suis pas d’accord. Quand bien même on nous l’a vendue comme emblême du « courage national » elle avait d’ores et déjà : abdiqué sa souveraineté, celle de : son identité féminine. Voilà pourquoi à mes yeux elle n’est pas « un emblême ». Bien au contraire, elle démontre à elle seule : l’abdication de la France et de ses valeurs « terriennes ».
Une
vraie femme n’est : ni guerrière, ni castratrice. Elle est
INSPIRATRICE. Elle est faite pour inspirer l’amour QUI DONNE LE
COURAGE à l’homme. Je vous l'ai rappelé pourtant dernièrement que "le courage" vient étymologiquement de : coeur !
Je suis une « femme celtes » d’origine, une culture où la femme n’a jamais été considérée comme « propriété de l’homme ». Ceci n’est venu qu’avec les conquêtes romaines puis catholiques, d’un bassin médittéranéen « berceau » de la misogynie et de l’esclavagisme qui vont de paires, je le rappelle et le hurle aux oreilles de ceux qui ne voudraient pas entendre le lien profond entre domination de la femme et ESCLAVAGISME.
Car qui prétend « posséder » un autre humain si ce n’est : l’ESCLAVAGISTE ? Nier cela, c’est nier toute humanité à la femme, la considérer comme : moins qu’un humain. Et de fait, on sait qu’au Magreb, les femmes ne sont qu’une partie du « troupeau » de son riche propriétaire dont la richesse se mesure au nombre de têtes de son cheptel. Il suffit d’avoir des poils sur la tête pour faire partie du troupeau. On ne parle de « chevelure » que dans les poèmes…En Tunisie, on identifie encore les femmes à "des gazelles"...
Et vous voudriez échapper à l’esclavage qui attend celui qui nie ces réalités ? Je le dis : c’est impossible. Impossible de libérer votre esprit de ce futur esclavage tant que vous trouvez « normal » ce qui ne l’est pas du tout !
On l’aura remarqué via mes écrits, le plus souvent, ils visent à : détruire les idées reçues. Elles sont si « fondamentales » que plus personne n’en est conscient. Plus personne n’est conscient que c’est de longue date que l’homme français se retire la terre qu’il a sous les pieds ! Cela, au nom « d’idéologies » de plus en plus déconnectées du réel. Se retirer la terre sous les pieds est pourtant du même ordre que de retirer la chaise sur laquelle on voudrait s’asseoir ! Nier « les fondements de votre assise » ne peut que vous destabiliser à terme et voilà bien ce qu’il se passe à notre époque « héritière » de ce dévoiement !
Et comme le disait Montaigne : « aussi haut que vous soyez assis, vous ne l’êtes jamais que sur votre cul » ! Les ambitieux que l'on fait marcher à la carotte l'ont oublié ! Ils n'ont pas vu qu'il n'avait plus que l'abîme sous les pieds !
Ne
me parlez donc plus de Jeanne d’Arc comme « défenseuse de la
France » d’abord, l’idée de France unie telle qu'on la connait, n’existait pas à son
époque. C’est en soi une « incongruité » de
l’histoire dont tous devraient se moquer. Quoi les misogynes
admireraient une femme combattante tandis qu’ils qualifient de
« castratrice » toute femme autoritaire ? Mais vous
plaisantez monsieur ! Tant de « virilité » chez une
femme n’en fait-elle pas plutôt la première « lesbienne »
de l’histoire ? Une chose plus homme que femme ? En quoi,
moi, toute de féminité constituée, pourrais-je m’identifier ? Je ne suis pas assez "conformiste" pour me conformer à des aberrations...
Non, Jeanne d’Arc n’est pas à mes yeux une image de « la grandeur » : se réduire à une idée de « force » toute masculine n’est pas « grand ». C’est au contraire : très petit. Maman doit remplacer son fils impotent et incapable, voilà ce que cela signifie. Pour cela : elle doit se mettre à sa portée et lui expliquer comment et pourquoi on se bat. Comme on prend un enfant par la main pour lui apprendre à marcher ! Où devrais-je être confondue d’admiration, expliquez-moi ? C’est très communément que la femme élève des enfants ! Ceci n’a strictement rien d’exceptionnel.
Et je ne suis pas « féministe » car j’impute aux femmes le tort d’avoir voulu garder son fils « dans ses jupes » l’infantilisant, ainsi, toujours et davantage, faute de : détachement et de noblesse.
Jeanne d’Arc est « un transfuge » à une idéologie masculine : le culte de la force. L’homme l’admire comme « incarnation de la virilité » qui, en lui, a commencé à défaillir. Et c’est : le culte de la force qui doit disparaître au profit de l’intelligence et de la sensibilité qui sont de vraies valeurs féminines. Le jour où les femmes deviennent aussi stupides que les hommes est : le jour de la fin. Je le dis tout net. Car c’est bien ce qui est en train d’advenir avec ces « idées reçues » que l’on a jamais remises en cause.
ON A UTILISÉ LES FEMMES POUR LEUR VOLER LES ENFANTS
Voilà ce qu’il convient de dire à l’heure où l’on ouvre les yeux sur la pédocriminalité française car voilà bien : la conséquence de cette triste farce. Une femme « au combat » n’est plus disponible pour protéger son enfant et ça ne devrait pas être son rôle.
Sauf dans un monde d’hommes phallocrates où « le père » est devenu : homosexuel. On parlait « d’invertis» par le passé car un désir masculin qui n’est plus orienté vers le féminin est le début de sa dévirilisation et par conséquent de la perte de toute « force » réelle car n’étant plus spirituellement inspirée. On peut dire que là est l’oeuvre du monde catholique où l’on a demandé à la femme de « se soumettre » à son fils-enfant, et, par là, devoir céder à tous ses caprices. Cela, au lieu de l’inspirer à grandir et de l'élever…
Réduire la femme à une inférieure de l’homme est en soi la pente glissante de la dégénérescence. Car oui, nous parlons : des générations. Et cet ordre tout à fait « contraire à la nature » car niant l’apparentement de la femme à la terre-mère est : la véritable source de la décadence.
JE VAIS ÉCOURTER MON PROPOS
Il ferait des pages et des pages sinon. Je me contenterai de rappeler que je suis fille d’une mère célibataire qui m’a toujours dit ceci : une femme a besoin d’admirer pour aimer. Oui, l’amour réel, celui qui n’est pas fait de vils attachements calculateurs et sécuritaires, implique : le respect et l’admiration de l’autre.
On voit Alexandre déplorer « le manque de coeur » de notre société actuelle tout en professant une admiration pour ce qui était : la source du problème. Une femme, Jeanne d’Arc, obligée de prendre les armes ! A l’heure où, déjà, on parlait par ailleurs d’un de ses corréligionaires, Gilles de Rais, comme : du premier pédocriminel de l’histoire !
Je serai plus « admirative » des rhéteurs actuels si j’en voyais faire la juste analyse historique. Mais non, nous retombons toujours et encore dans : les mêmes clichés ! Aucun « esprit libre », aucune véritable « audace » qui susciterait mon admiration et mon respect… Quand bien même ils peuvent paraître justes et intelligents, cette façon de revenir sur des sentiers largement « battus » les désigne comme victimes de la doxa, résignés à cette version falsifiée de l’histoire et sans aucun courage de la remettre en cause… Il est tellement plus reposant et rassurant de rabâcher la « ritournelle à papa »…
Sans susciter mon admiration, le seul que je trouve réellement « touchant » actuellement, c’est Oleg de Normandie qui préserve la pureté de son âme d’enfant et ne joue pas les rambos lorsqu’il revient sur notre histoire. Il est « viril » car il continue de prendre des modèles de force masculin, mais voilà, il rétablit les choses : cette force doit avoir pour fin de se battre pour la justice et la vérité !
Il nous rappelle « les vrais idéaux » qui doivent inspirer la lutte. Une lutte qui serait autre que celle des martyrs dans l’arène des jeux romains ! Et qui se demande : qui se réjouit de tels combats d’esclaves organisés pour le plaisir du prince ? Un tel prince se nourrissant de tels avilissants plaisirs mérite-t’il le nom de prince ? Il se moque bien de ces nuances, puisque c’est étendre « son empire » qu’il veut.
Et oui, sur le chemin du pire, il empire…
ALORS OUI, CE MATIN J’AI VOMI MON CAFÉ
Dans un « rejet » très Lune Noire en écoutant cet homme égrener tous les manquements historiques à toute « grandeur » et « souveraineté »… Mais avec une fort mauvaise conclusion qui me permet de juger de son incapacité à sonder un « mensonge » qui voudrait : qu’une mystique chrétienne prenne les armes. Non, les chrétiens n’ont dû se battre que face aux lions dans les arènes, jamais contre leurs frères ! Tout simplement parce que c’est : indigne d’un chrétien qui respecte le premier des commandements : "Tu ne tueras point".
Et on s’étonne qu’il y en ait encore ainsi pour croire au père Noël alors qu'ils sont dès petits nourris de fables ? Un tel aveuglement sur les faits historiques ne rend pas optimiste sur la capacité des hommes à « se redresser ». Flatter les « lieux communs populaires » est de l’ordre de la « séduction démagogique » et en aucun cas d’un quelconque « courage intellectuel », désolée de vous le dire.
Et c’est bien cela que j’observe en 2021… Notamment dans le milieu astrologique : des hommes se « payant de mot » et reprenant des poncifs sans jamais : les mettre en pratique. Enfin, si j’en juge au monde astrologique où je me vois bien seule à défendre vérité et liberté, mon mépris pour tant de lâcheté ne fait que s’affirmer. On voit des astrologues écrire et vous rappeler « la voie du héros » tout en s’avérant incapables d’un quelconque héroïsme. A quoi bon n’est-ce pas être « héroïque » puisqu’il suffit de parler des héros d’antan pour se faire bien voir d’un public féminin qui ne demande plus qu’à rêver, et surtout pas à : être sauvé ! Elles mêmes ont oublié qu’elles sont en péril ! Elles ne savent plus que mener leur enfant masqué à l'école de la torture. C’est dire…
Mais le message en sous-titre de ces pseudos « mâles alpha » mythomaniaques, c’est : oui, dans une autre vie, en rêve, je pourrais « être un héros »… Pardonnes moi d’avoir renoncé à tout héroïsme, mais c’est trop dangereux… Tu ne voudrais pas me perdre, n’est-ce pas ? Certes, maman ne veux pas perdre « son petit », mais elle perdra tout à la fin de l’histoire pour n’avoir pas accepté : le sacrifice.
Je suis assez d’accord sinon avec les propos de cet homme et j’exige de ce fait que l’on réinstaure, pour l’être spirituel : le droit à la misanthropie ! Et non pas à ce misérabilisme qui se prétendrait « chrétien ». Faute d’être parvenu à « les élever », qu’il nous soit permis, à nous « les grands » de les toiser de notre regard méprisant face à tant d’indignité.
Alors, le monde, peut être, pourra être remis à l’endroit car je suis femme et de tout temps, c’est elle qui « adoubait » le chevalier… La légende arthurienne nous dit qu’aucun homme ne peut être couronné roi s’il n’a su servir et déjouer les pièges du féminin comme autant de « piège de l’astral » qui l’attache ici-bas.
Si rien n’est plus « admirable », alors : tout est méprisable. Et je revendique pleinement le droit d’exprimer « mon souverain mépris » car : je suis femme. Une femme n’a jamais confondu un « larbin » avec un « chevalier servant » agissant par noblesse de coeur… Car seul ce dernier peut permettre la perpétuation de la vie…
Voilà pourquoi, ce matin : j’ai vomi mon café. Il était encore tout "noir". J’ai rendu ce qui m’est resté sur le coeur…
CAR ALEXANDRE QUI NOUS PARLAIT DE "GRANDEUR", N'ÉTAIT PAS "GRAND"...
Si nous avons eu des chadocks qui "pompaient, pompaient", n'est-ce pas parce que d'autres "gobaient, gobaient..." tous les mensonges ? Je laisse la question ouverte à votre méditation...
Et dès lors, la voie de "l'infiniment petit" s'est ouverte sur un monde de nanotechnologie qui parachèvera cette oeuvre de destruction. Car il est vrai QU'ELLE VOYAIT DES NAINS PARTOUT !
RAPPELONS NOUS LE SOUCI DU COYOTE "CARNIVORUS VULGARUS" A ATTRAPPER SA PROIE ET SE RETROUVANT RÉGULIÈREMENT À PATAUGER DANS LE VIDE AVANT DE : CHUTER DANS L'ABÎME...
Tellement... Il est bête ! (mais très "résistant", il faut bien le souligner...)
BIP BIP !
vous ètes une femme exceptionnelle,je vous suis depuis vos articles dans le monde inconnu
RépondreSupprimermes respects