DE L'ESTHÉTIQUE À L'ÉTHIQUE
Comme déjà dit, mes premières ambitions étaient artistiques, mais j'ai oublié de préciser, parce que "la morale" était déjà bien ancrée en ma personne. Beaucoup de choses se sont décidées à l'adolescence, ma nature "philosophe" étant déjà éveillée. J'ai toutefois fait un parcours commun à tous dans notre société et usé tout d'abord de mon Mercure en prenant grand plaisir à "la joute oratoire" où je mettais toute mon énergie. J'avais pour coutume de prendre mon interlocuteur comme cobaye afin d'évaluer ma force de persuasion et comme je l'ai souvent dit : soit il finissait mort de fatigue, soit convaincu. Beaucoup finissaient par me donner raison par simple fatigue, d'ailleurs... Il n'y a bien que moi, je crois, qui avait ce goût de : convaincre par la raison.
Je m'exerçais aussi à la vente en porte à porte pour faire de l'argent de poche. Avec "un argumentaire" bien ficelé mais entièrement mensonger, invitant à collaborer à un projet de "construction d'un manoir en Ariège", il suffisait pour cela de : m'acheter un tableau. J'ai pu constater comme la moyenne des gens avaient plaisir à participer à un tel projet constructif et en réalité donc : c'est le projet, que je vendais bien plus que le tableau de sérigraphie. Etait-ce malhonnête de "vendre du rêve" ? Je ne le crois pas. Surtout qu'à force d'en parler avec conviction, j'avais fini par y croire moi-même.
Il n'en reste pas moins qu'au terme de cette expérience, j'ai passé mon diplôme lorsque j'ai "vendu un tableau à un aveugle". Mon Mercure RKNN à cette époque me servait à "monnayer mon verbe" comme le fait tout commercial. J'ai donc développé ma verve ce qui m'a permis de constater que j'étais en réalité capable de vendre : tout et son contraire, avec la même force de conviction. Ceci m'a permis d'intégrer ce que veut dire "sophiste" puisque j'en usais et abusais moi-même avec grande habileté.
J'en ai tiré la conclusion que "la morale" du commercial consiste à s'assurer de la qualité du produit vendu. Pour mon ex, en revanche, il était établi que "le commerce c'est satanique"... Sa famille était communiste. La mienne, celtes et de droite chrétienne et surtout "enracinée" dans le bon sens terrien. Celle pour qui "un bon tien vaut mieux que deux tu l'auras". Celle à qui on ne fait pas gober, donc, n'importe quelle couleuvre idéologique.
C'est parce que j'ai observé comme ma verve pouvait mettre tout le monde dans ma poche que j'ai fini par constater surtout la faiblesse d'esprit de l'homme moyen et en nourrir du scrupule. Il était si facile de les manipuler... Alors a surgi en moi : le besoin éthique de ne pas abuser de cette facilité. Ce qui m'a mené sur un chemin : contraire de la politique. J'ai plutôt compris qu'il fallait aider autrui à se faire moins dupe du discours des sophistes. Sans doute est-ce cela qui m'a mené à un enseignement socratique du "connais toi toi-même" puisque tel avait déjà été le parcours intellectuel de Socrate face aux sophistes de son époque.
Là est bien, comme je l'expliquais aux élèves : la double nature de Mercure qui pour avoir "le don du verbe" peut facilement devenir escroc et voleur. Il use très exactement de cette même facilité, mais sans scrupule ni morale. Aussi, le parcours d'un Mercurien consiste bien davantage à "apprendre à se taire" qu'à s'exprimer inconsidérément. Ceci pour élever le niveau de son propre Mercure et le conduire vers Jupiter : le guide se fondant sur le sens et la morale, grâce à son intelligence.
DÉCOUVERTE DE L'APORIE
Au lieu de parler contre le mental comme on en voit certains faire, il me semble au contraire qu'il faut avoir été au bout de ses ressources pour en constater par soi-même l'inanité. On ne découvre la réalité de "l'aporie" qu'après avoir beaucoup réfléchi jusqu'à faire le constat de l'absurdité et la relativité de cette faculté. Ceci est : la voie du philosophe. Elle mène de la réflexion à la méditation consistant à apprendre à "faire taire le mental" face à sa propension à l'argutie stérile.
On peut donc dire qu'être philosophe consiste à savoir : aller à l'essentiel. Cela parce que l'on a appris à sonder "les lignes de force" face à tous les discours et que l'on est apte à les identifier pour en dégager l'important. Ainsi peut-on dire par exemple qu'à l'occasion de cette crise et face à la confusion actuelle due à la pléthore d'informations contradictoires, l'important est : de garder le moral quoi qu'il arrive. Cela parce que l'on est conscient que derrière ce que l'on appelle "la guerre de l'information", il y a une grande part de "guerre psychologique". Il convient donc avant toute chose : de ne pas se laisser miner le moral par l'argutie contraire de l'adversaire. Et par conséquent : éteindre sa télévision qui en est le vecteur.
Là où le défenseur de la démocratie veut de la vérité pour en débattre, le système, lui, veut de la censure afin que seule sa parole soit audible. Peu importe qu'elle soit vraie, du moment qu'elle sert son intérêt. Le problème, on va le voir, c'est que ceux qui sont derrière sont pervers et dénués de toute véritable intelligence.
SORAL NE DIT PAS QUE DES CONNERIES
J'écoutais hier un échange sur "Le Grand Reset" qui consiste en fait en une réactualisation d'un système économique insensé. On connait l'antisémitisme d'un Soral et de ce point de vue, je ne peux que lui donner raison lorsqu'il rappelle que c'est un Friedman, juif donc, qui a trouvé judicieux de soumettre le système socio-économique au moteur de "la cupidité". On voit un extrait où celui-ci argumente : "connaissez vous une société où la cupidité ne soit pas "la base" des échanges ?" Immédiatement m'est venu la réponse : oui, la société chrétienne qui enseigne la droiture, le désintéressement et le scrupule. Immédiatement aussi, m'est venu : ah oui, mais quel argument à l'adresse d'un juif qui précisément : n'est pas chrétien ! Il ne peut que l'invalider en le jugeant stupide. Selon leurs valeurs en effet, il faut être stupide pour se limiter gratuitement dans sa cupidité. Il faut être chrétien pour avoir élaboré le concept de "voeux de pauvreté" qui ne peut qu'apparaitre insensé à un juif.
En effet, on apprend au chrétien "les 7 péchés capitaux" et donc la cupidité en fait partie. Pas pour un juif. Il semble que l'absence de réflexion philosophique soit bien la marque de cette mentalité qui ne vise que son gain, encourageant à l'inverse cette absence de scrupule puisque tous les moyens sont bons pour l'obtenir.
Au regard des dérives de notre société actuelle, je n'ai aucun besoin de "maître à penser" pour observer que c'est bien parce que nous nous sommes éloignés des principes du christianisme et donc devenus sourds à sa sagesse, que nous en sommes là. J'ai d'ailleurs rappelé lors de la crise de 2008, qu'il était clair pour un Grégoire de Nysse, un des pères du christianisme, que "le prêt avec intérêt" était la cause de bien des malheurs. J'avais rappelé aussi que même les juifs qui l'admettaient, y mettaient une limite avec le concept de "Jubilé" qui annulait les dettes tous les 50 ans. La vraie question est donc : pourquoi a-t'on cessé d'écouter "les sages" ???
La "source de nos maux" est donc très facile à identifier pour le philosophe et c'est aussi pourquoi j'ai fini par conclure que le christianisme était en réalité : "de l'hygiène mentale" consistant à mettre les freins salutaires, précisément, à la malhonnêteté potentielle de Mercure qui d'intelligent, devient bassement "malin".
De la même façon donc, on voit mal comment une société pourrait évoluer sainement lorsqu'on place un des péchés 7 capitaux à la place du moteur ! C'est plutôt ainsi qu'on lui donne : "la voie perverse". Cette perversion a touché les sciences lorsqu'on a inventé "les mathématiques financières" pour continuer de nourrir une cupidité assoiffée de gains morbide et créé de ce fait une société de parasitage prédateur qui ne peut que s'auto-détruire. Nous arrivons à ce stade : face à l'échéance de l'auto-destruction à laquelle l'oligarchie voudrait survivre, c'est à dire : garder ses acquis illégitimes. Faute d'intelligence, leur argent leur sert à acheter celle d'autrui. Ils peuvent en effet s'offrir toutes les compétences tandis qu'eux en sont dénués ! La seule qu'ils aient, c'est celle de Picsous avec sa piscine pleine de billets acquis par l'escroquerie et le crime !
Face à ce constat, je pense immédiatement au film "Idiocratie" : le règne de l'idiotie où l'homme intelligent devient rare et où la société, faute de cerveau, ne peut plus vraiment tourner. Je recommande vraiment ce film pour comprendre vers quoi nous nous dirigeons si nous continuons de laisser le pouvoir à des idiots congénitaux qui se prennent pour "des élus" et croient sérieusement que l'on peut gouverner un monde par : le mensonge, le crime et la corruption.
Mais il n'y a pas que la conséquence économique. On observe que, faute d'Hygiène mentale, ces gens sont de devenus de véritables psychopathes, incapables de raison. Il n'est donc aucun besoin d'être grand clerc pour observer les conséquences dommageables à l'esprit de toute absence de scrupule. C'est bel et bien : la voie de la folie. Je l'avais d'ailleurs cernée chez certains satanistes dont l'incohérence des propos était notable. Le satanisme -vs le christianisme-, est la voie de "l'adversaire" de toute raison humaine. C'est d'autant plus important de le rappeler dans notre société où l'influence juive domine dans ce qu'il est devenu commun d'appeler "le judéo christianisme" qui se distingue donc d'un christianisme authentique de source grecque et européenne. Voilà pourquoi d'ailleurs je promeus le travail d'Oleg de Normandie qui rappelle aussi cette vérité. La "dérive" de notre monde se situe bien ici : la judaïsation du véritable christianisme qui de ce fait en a perdu sa racine sage et philosophique. Plus tard, on parle de "talmudisation" et c'est dire la même chose.
J'ai encore rappelé que je n'ai jamais été nourrie d'antisémitisme mais qu'une de mes constantes, est le mépris pour la bêtise qui ramène l'homme à son statut de bête. Or, lorsqu'on a fini de comprendre "les rouages" de notre système, force est de constater que "cette bêtise" est bien de nature judaïque. C'est ce qui me fait convertir l'idée de "la bête" de l'apocalypse à celle : du bête, clairement identifié par son absence d'intelligence. Sa "malignité" s'est convertie en véritable stupidité.
C'est ici donc que je rappelle les fondements du véritable christianisme qui vient : de nos philosophes grecs lesquels savaient exercer leur raison. La morale, l'éthique, c'est avant tout la préservation du bon sens, la fertilité de la réflexion.
Nos ânes contemporains ont caricaturé "la morale" par le "moralisme" qui leur permet de vous faire la leçon en vous culpabilisant et en vous privant de liberté comme des enfants que l'on punit. Ils ignorent le vrai sens du mot "morale". J'entendais d'ailleurs un écho du livre qui défraie la chronique actuellement "Familia grande" où ils affirment "notre liberté, c'est le sexe". Autant dire qu'ils n'ont aucune idée de ce que veut réellement dire le mot "liberté" en se rendant "esclave" de leurs pulsions. Un tel "esclavage" est en soi contraire à toute liberté ! J'ai déjà dit, donc, qu'écouter une classe politique qui s'est d'ores et déjà "rendue esclave" de ses désirs et pulsions en oubliant toute morale est, en soi : la voie de l'esclavage qui veut dire abandon de toute véritable "souveraineté", laquelle est impossible sans sens moral.
La "morale du juif" s'arrête en réalité à une volonté de domination et le moyen d'y parvenir est : l'argent. LEUR dieu, leur a promis de leur soumettre le monde en le réduisant à l'esclavage et c'est l'unique but qu'ils visent, donc. Et on le sait, pour le Jésuite : "la fin justifie les moyens". Il est bon de rappeler que les jésuites sont des juifs dit "convers" et par conséquent : faussement convertis au christianisme. Il faut admettre que faute d'en comprendre "les fondements philosophiques", ils n'ont fait que se "déguiser" en chrétien sans sonder la profondeur philosophique de cette religion. Il faut l'avoir compris. On constate qu'en effet, cet argent, leur permet maintenant de corrompre l'ensemble de la société en "achetant les consciences". C'est bel et bien ce que fait un Bill Gates avec la propagande vaccinale. Et c'est ce que l'on observe avec ces médecins sans éthique et plein de conflits d'intérêt venant les défendre à la télévision sans aucun soucis éthique. J'appelle cela être parfaitement "décérébré" avec un tiroir caisse en guise de cerveau. Aucune véritable réflexion n'est nécessaire à celui dont le seul soucis est de : faire un profit et défendre ces derniers. On se dit que de tels gens feraient mieux de se taire et bien non : c'est à eux qu'on donne la parole dans les médias propagandistes de l'oligarchie. Non contente d'être déjà riche, cette caste continue de viser à s'enrichir de façon compulsive. Alors que si elle était chrétienne, elle utiliserait cet argent au bien commun dont elle a largement les moyens. Et non, ce serait : casser le moteur. Puisque c'est la cupidité qui le dirige.
J'entendais récemment dire que c'est ainsi que Rome a ouvert la voie à sa propre décadence. En instituant un monde fondé sur la loi du plus fort et l'esclavage. Il est arrivé à son propre terme lorsque le nombre d'esclaves à entretenir est devenu plus important que les biens que ces derniers permettaient d'accumuler pour s'enrichir.
Il semble bien que fort de cette expérience du passé, ce soit le projet actuellement nourri par ces psychopathes : tuer l'excès d'esclaves pour continuer d'engranger des gains grâce à la robotisation. Cela, sans aucun respect des "lois du vivant" ce qui conduira ces supposés "gagnants" à constater que : la morale, ce ne sont que les fondements du respect du vivant et de la nature.
Mais voilà, ces gens considèrent que la nature est mauvaise, il n'est qu'à écouter Attali nous le dire. Ce à quoi je réponds : la vôtre, oui. La bonne idée serait donc peut être de chercher à "la parfaire" en se convertissant au christianisme, non ? Le problème est qu'il semble que ce soit trop tard, ces gens sont devenus trop "fous" pour que ce mal puisse être guéri. On ne peut raisonner de tels fous, sourds, par définition, "aux arguments de la raison". C'est alors que l'on peut parler de "démons" car telles est la voie des satanistes vendant leur âme : laisser leur esprit entièrement soumis à une entité invisible qui ne nourrit aucun bon sens humain. Un "démon" est ennemi de l'humain, de son accomplissement et de sa réalisation. Denys L'aéropagyte le définissait comme "contraire à la nature" et ce qui mène donc l'homme sur : la voie perverse. C'est ce qui est dit dans le christianisme : Satan vise la destruction du genre humain. Là où le Christ, tout à l'inverse, vise : sa pleine réalisation.
"La bête", "le Bête" devient dangereux lorsqu'il est acculé. Il est "aux abois" car il sait sa fin proche. Elle est inéluctable car le propre de la bêtise est d'être dénuée des moyens de sa propre survie. Il y a "évolution" précisément parce qu'elle s'autodétruit naturellement dans ce processus évolutif. Ce qui conduit à parler "d'oeuvre au noir", passage nécessaire au retour à la lumière et à la renaissance. S'il reste bien sûr un germe de vie. Sinon, c'est : la seconde mort.
Voilà pourquoi il me semble que "la sagesse" actuelle consiste à la "laisser délirer" et ne prêter aucune attention à ce délire. Cela, si l'on est sage. On peut aussi prendre l'option d'en rire car il est un fait que ceci est plus "cocasse" que véritablement dangereux. Je riais par exemple de nouvelles mesures de "biosécurité" consistant à laisser un jour par semaine : s'oxygéner la plage. Il suffit d'avoir gardé sa raison pour voir l'absurdité de telles mesures et pour s'esclaffer de rire : une plage aurait besoin de s'oxygéner alors qu'elle est balayée par les vents naturellement ? C'est ce que l'homme sain d'esprit fait : il se moque d'une telle absurdité qui ne peut prêter qu'à rire et perdre donc tout respect et considération pour les auteurs de telles mesures. Ils ne font ici que se montrer pour ce qu'ils sont : parfaitement stupides.
CREDERE, CREDO, CREDIT
Pour qu'une société fondée sur le crédit tourne, il faut accorder "du crédit" à leurs responsables. Il me semble donc que par delà "une crise de confiance", c'est un total discrédit que vit cette engeance dominante et dominatrice. Après avoir perdu les confiances, c'est le crédit même que l'on peut accorder à de tels psychopathes qui va achever son règne si le monde veut y survivre.
Ils ne sont tout simplement et sérieusement : plus crédibles. Ils ont survécu en préservant "les apparences" comme le recommandait un Rotschild pour qui l'honnêteté affichée n'était un "moyen" de parvenir à ses fins. Il s'agissait en effet : de ne pas éveiller les soupçons pour mieux accomplir : un plan de domination.
Mais on constate qu'en réalité, c'est l'absence même de tout scrupule qui est devenu : leur talon d'Achille. Ils sont devenus incapables d'en faire preuve et affichent désormais leur vice et perversion aux vues et aux sues de tous. Et ils voudraient continuer de se dire "élus", de se faire appeler "élite" tandis qu'on observe plutôt leur bêtise et leur caractère insensé qui en font "la lie" de l'humanité ?
Il est devenu interdit d'être antisémite mais pour l'heure on a encore le droit d'être intelligent. Notamment pour observer que tous les agents du gouvernement impliqués dans cette fausse pandémie sont : juifs ! Donc, si j'use du peu de droit d'expression qu'il nous reste, c'est bien pour pointer "la bêtise" plutôt qu'une quelconque "bête". Le langage commun qualifie de "bête" toute personne dénuée d'intelligence. Et c'est bien ma foi ce que l'on observe chez cette oligarchie. Comme nos anciens romains, elle prend la voie de l'autodestruction. La seule façon de l'éviter serait pour eux de se convertir au Christianisme. S'il n'y étaient foncièrement inaptes. Ils auraient fallu pour cela qu'ils commencent par intégrer le "tu ne tueras point" ce qu'ils n'ont jamais fait de toute leur histoire. Bonjour le karma...
Mais si on parle de Géhenne en matière spirituelle, c'est bien pour parler du devenir de tels individus. Le problème actuel est donc qu'ils ne mènent pas le monde à une perte qu'eux seuls méritent. Ils devraient être vus comme "des pestiférés" atteints de démence. Il y a discussion à savoir si la Géhenne est de ce monde ou bien de l'au-delà. Pour s'en faire une idée, je propose simplement de réfléchir aux fondements de "la morale" assise sur : les lois du vivant. C'est en soi de la "bioéthique". Par conséquent, en être dénué soumet aux forces de destruction de ce dit "vivant". Voilà pourquoi j'invite ces "transhumanistes" à considérer que faire naître un tel monde, c'est abdiquer toute humanité et accepter de mourir, donc. Bien obligée de le leur rappeler puisque leur faible intelligence ne leur permet pas de le voir par eux-mêmes.
On ne peut donc que rire lorsqu'on entend un Laurent Alexandre dire à ses élèves qu'ils seront "les dieux" du monde de demain à ses élèves de polytechnique, soulignant que le reste de l'humanité seraient "des inutiles". Je dis que lorsqu'on est vraiment "intelligent" on ne va pas suivre de tels cours... Sortir de polytechnique est donc devenu "la marque de la bête" car écouter ce type de discours sans aucun esprit critique est bien la marque de la bêtise. Et flatter l'ego de ses dupes est bien dans les façons du sataniste pour les séduire.
Seuls des démons peuvent envisager indifféremment, après avoir "squatté" la conscience humaine, à évoluer sur un autre support qu'un corps humain. Sauf que la spiritualité étant par nature "écologique" cela veut dire : dans un monde devenu tout à fait stérile comme peuvent d'ores et déjà l'être d'autres planètes où aucune vie n'est possible.
C'est donc un projet qui devait apparaître dans sa vraie nature à tous. Il faut pour cela, faire taire "les sophistes" qui voudraient vous le vendre car ils sont dénués de véritable intelligence et ne pratiquent que la courte vue du profit à court terme, soit "la malignité" plutôt que "l'intelligence".
C'est bien pour cela que je parle de "conversion forcée" car c'est pour voir où nous mènent de tels gens que l'on peut envisager "un sursaut" humain pour dire : STOP. C'est cela "croire en l'homme" et croire par conséquent qu'il existe une armée et un Trump pour freiner cette entreprise sataniste destructrice.
Car cette voie ne favorisera pas plus le sataniste accompli qui a abdiqué sa souveraineté en laissant le pouvoir à Satan qu'elle ne favorisera l'homme moyen. Le sataniste a DÉJÀ perdu. Reste que la société toute entière s'en protège et refuse de suivre ce que le Christ appelait à juste titre : "la voie de la perdition" car oui, c'est ainsi que s'appelle un chemin autodestructeur. Il est le contraire : du Royaume de Dieu qui préside à la Création. Il est le chemin de : la destruction de la création.
Ces juifs qui veulent imposer à l'ONU leur perversion pédophile sont incapables d'autocritique. S'ils ont franchi "un tabou" c'est que seule la pulsion les guide au détriment de toute intelligence philosophique. Détruire sa postérité en cédant à une pulsion sexuelle est l'acte le plus foncièrement stupide et irreponsable que peut avoir un homme et un père. Ce n'est donc pas tant "la morale" qui réprouve cela. Mais L'INTELLIGENCE PHILOSOPHIQUE. J'ose espérer que chacun le constate avec un Olivier Duhamel ayant d'ores et déjà perdu tout respect et tout crédit. Il a fini donc, en s'en prenant à plus immature, par se nuire à lui-même car a priori : chacun sait -ou pressent- le bien fondé de ce tabou. Même s'il est hypocrite, il est heureux que la société soit encore capable de ce minimum de sens moral.
Car, par delà tout conflit culturel et religieux, nous avons en commun : une nature humaine. C'est sur le respect de cette nature, en soi et en l'autre, que se fonde le christianisme authentique. Il s'agit de permettre à "la semence divine" de grandir tout simplement... Lorsque je parle de "bataille spirituelle" défendant "les valeurs humaines" cela revient à dire la même chose. Si on a "clivé" les hommes par la religion, ce n'est pas en l'abandonnant qu'on les réconciliera, mais en revenant aux racines philosophiques de "la sagesse des anciens".
Si l'on élargit sa réflexion au plan cosmique, on dira : oui, une étoile peut mourir, une planète peut devenir stérile et ne plus permettre l'éclosion d'aucune vie. Oui, c'est "un possible". Mais cela : seulement si l'humain a perdu toute raison au point de laisser le mal le détruire. Or, pour commencer à lutter contre ce mal, encore faut-il être capable de le voir pour ce qu'il est ! C'est ce qu'il se passe actuellement : nous voyons "le mal" à l'oeuvre chez nos autorités.
La question est donc : allons-nous le laisser continuer à nous détruire ? Non, il faut arriver selon moi à "l'acmée du danger" pour enfin se donner les moyens d'y remédier. Alors : tous les espoirs sont permis si l'on garde foi en l'intelligence humaine et en l'humain. Sinon... Ben sinon... MAINTENANT, VOUS SAVEZ.