dimanche 4 avril 2021

SOCIALISME ET PERVERSION DU CHRISTIANISME

 SOCIALISME ET PERVERSION DU CHRISTIANISME

De Rome à Rome : une même décadence...

 

Comme déjà dit, je n'ai jamais été très politisée... J'avais voté socialiste dans ma jeunesse arguant à une "sensibilité de gauche" qui en réalité pourrait être davantage qualifiée de "chrétienne" s'agissant de protéger les pauvres et les faibles, ce que prétend faire la gauche et le socialisme. Ceux, plus politisés que moi, comme Elisabeth Darras dont le père était chrétien militant communiste avaient pourtant clairement parlé de "trahison" et de "déception" concernant cette gauche là. 

C'est parce que je viens de retomber sur cette chanson de 1966 d'Eddy Mitchell que me revient une anecdote. Nous noterons que ce qu'il dit dans le refrain, "rien est à toi", anticipe le projet de dictature mondiale communiste, d'ailleurs. On entend désormais parler de "l'arnaque au nom légal" qui fait valoir que notre dénomination juridique, les noms et prénoms écrits sur nos papiers, sont comme des "dépôts de marque" faisant de nous, de fait et de longue date, une "auto-entreprise" au service du système capitaliste. Ceci relève d'une ancienne loi maritime toujours en cours pour ce qui est du commerce. Ceci va de paire avec la découverte du fait que nos supposées "nations" sont en réalité aussi des entreprises commerciales déposées au registre du commerce.

On ne nous a pas dit tout cela, mais c'est ce que découvrent "les chercheurs de vérité" de notre époque recommandant de ne pas s'identifier, en tant qu'être humain, à ce nom légal qui n'est pas notre personne souveraine, soit : notre âme incarnée dans un temps précis et une génération.

ANECDOTE...

Elle me revient, car j'ai eu l'occasion de constater, tout de même, que la réflexion personnelle vaut mieux que toute adhésion, aveugle et irréfléchie, à un courant politique. En effet, dans ma jeunesse, je me suis vue conseiller une amie en recherche d'emploi. Je lui avais recommandé de se montrer gourmande pour son salaire, afin de défendre, dans un véritable esprit "socialiste" : la valeur de son poste de travail (pour laquelle je la savais d'ailleurs très compétente). Spontanément, elle allait au contraire diminuer ses prétentions arguant d'un "je suis socialiste". Les bras m'en sont tombés !!! Et je j'ai du lui expliquer pourquoi elle défendait bien davantage "les travailleurs" en manifestant des prétentions de salaire élevée. Précisant : c'est ça être vraiment "socialiste", c'est à dire : du côté des travailleurs face au grand capital.

C'est bien ici que je vois une confusion entre "valeur chrétienne" de nature désintéressée au service de l'humanité et "valeur socialiste" ... Une entreprise étant nécessairement "capitaliste" sinon elle ne serait pas, je vois mal en quoi on défend l'humanité en travaillant pour un salaire d'esclave !

Là est bien "la perversion" de ce courant de gauche, cette "gauche caviar" qui s'empiffre tout en prétendant protéger les faibles et les démunis. Elle surfe en réalité sur une culpabilité toute chrétienne dont elle sait tirer profit.

COMMUNISTE CHRÉTIEN ?

J'ai mis du temps en effet à comprendre pourquoi on était chrétien et pourtant anti-communiste. Je pense qu'il faut être américain, et non pas français, pour mieux le comprendre. En effet, historiquement, les guerres ayant opposés Démocrates et Républicains permettent de revenir à la génèse de cette division. Ainsi ai-je appris très récemment que c'est le parti Démocrate, supposément de gauche, qui défendait la perpétuation de l'esclavage quand les républicains, eux, voulaient l'abolir. On apprend aussi ainsi que le Ku Klux Klan était en réalité une création des Démocrates. Ceci nous explique donc cela...

L'histoire française ne s'est pas écrite de la même façon et ici, se mêle donc, le reliquat du christianisme avec la cause des travailleurs auxquels cette foi chrétienne a demandé de mépriser l'argent, d'être "le serf éternel" des dominants d'une société encore féodale. Mais, au temps de la monarchie, ces dominants défendaient courageusement les valeurs chrétiennes par les armes, (ce qui est l'origine de "la noblesse") ce n'est pourtant  du tout le cas à présent ! Aux USA, on ne méprise pas l'argent, au contraire, ses "icônes" tel un Trump sont des supposés "self made man" ayant su s'enrichir et donc triompher de "la loi du marché". Or, on sait que cette culture d'entreprise nous parle "de la main invisible" qui serait celle de Dieu derrière "la loi du marché". L'"Elu" du capital est, par voie de conséquence : un élu de Dieu ! Cela, pour la mentalité américaine très différente de l'esprit français.

C'est sans doute sous l'influence protestante que "le mercantilisme" d'une Tatcher est devenu une quasi "religion d'état". On comprend dès lors que le monde anglosaxon, sous influence anglaise, ait développé des idées de nature à le faire triompher mondialement, mais bien éloignées d'un véritable "esprit chrétien" tel qu'on le comprend en France. La France est le pays où la "pudibonderie" en matière d'argent reste très présente de par son passé de "fille de l'église".

Voilà donc la réflexion que je voulais apporter à ceux qui s'accrochent désespérément à un "esprit de gauche" qui doit être revisité. Ne vaudrait-il pas mieux qu'ils reviennent à ces valeurs chrétiennes qui, elles, visaient avec sincérité à protéger les faibles et des démunis ? Le mélange des genres entre religieux et politique est bien ce qui trompe les esprits et c'est le Christ, le premier, qui recommandait : "Rendez à César ce qui revient à César et à Dieu ce qui revient à Dieu"... Ceci vous permettra de faire la part des choses afin de ne plus vous laisser diviser par l'idéologie politique qui n'est qu'un moyen pour les gouvernants de vous mener à LEURS FINS.

 EN FRANCE, même les plus "américanisés" comme Eddy Mitchell chantait ça en 1966.  Alors le peuple : surdité ou bien amnésie ? 

Nous ne voulons plus rien de César-Satan-Rome, c'est au Christ que nous devons le salut de notre âme ! Et c'est pour lui que le travailleur souverain travaille, pour nul autre. L'avide et scélérate cupidité parvient à sa propre décadence comme c'était déjà le cas du temps de la décadence romaine dont, de toute évidence, il n'avait pas compris la logique destructrice car esclavagiste et irrespectueuse de l'humain.

Toujours aussi fou, ces romains de fin d'Ere... Nous n'irons pas dans leur folie meurtrière car nous le savons à présent : c'est à Satan qu'ils sacrifiaient les hommes. Ceci n'est désormais plus un secret...

Hier, je regardais un documentaire sur Saint Louis, histoire de me rappeler "la légende française" (même si un Oleg de Normandie remet en cause cette histoire). Il fait partie de "nos mythes" qui ont fondé notre nation. Or, on était roi à l'époque parce qu'on était "fort au combat des armes" et donc courageux... Avec Saint Louis rendant justice sous son arbre (seul roi canonisé), nous voyons cette force mise au service de la justice et de la paix car son règne de 44 ans a marqué un temps prospère pour la France naissante. C'est sa mère qui lui avait inculqué ces vigoureuses valeurs chrétiennes car tel était alors le rôle des femmes : éduquer l'homme a mettre sa force au service d'un idéal élevé. Notre nation a donc mémoire d'une "force mise au service de la justice". Où en sommes-nous à ce sujet ?

La véritable "armure" de ces courageux combattants n'était-elle pas leur noblesse de coeur et leur foi avant tout ? Nos politiques actuels, pour qui tout n'est que vil calcul et sombre manigance, ont-ils encore quelque chose de commun avec ces fondateurs de la nation française ? C'est dans leur profil psychologique même que se lit : la fin de la France.

Cela fait plusieurs années à présent que j'ai pris l'habitude de répondre à ceux qui nous rappellent cette phrase convenue : "Tous les chemins mènent à Rome". Oui, il est bien là le problème... 

PS : et je ne parle pas ici de ces anarchistes archaïques pour qui "Ni Dieu, Ni Maître" comme Edouard Leclerc défendant le port du masque dans ses magasins. Car à ces anarchistes, j'ai toujours dit : "Ni Dieu, Ni Maître" oui, sauf "le dieu pognon, hein ?"... 

Ce qui me fait définir le libéral comme "un anarchiste qui a réussi". Et moi je revendique tout à l'inverse et de longue date "un Dieu et un maître" qui s'appelle : le Christ ! Car comme Bashung le chantait, "ma petite entreprise qui ne connait pas la crise", à l'heure où elle coule, on fait quoi ? On prie le Christ ou bien on dit "amen" à Satan ? 

LE MEILLEUR MOYEN DE PERDRE SES VALEURS, C'EST DE NE PAS LES DÉFENDRE !


Même en revisitant notre histoire officielle, on ne peut nier que les rois d'alors étaient "fanatisés". Ce que nous permet de comprendre Oleg de Normandie, notamment avec ce film qu'il vient de faire paraître sur sa chaîne.


Avant cela, l'historien des religions, Mircea Eliade, soulignait la similitude d'une "tradition chamanique" née en russie avec celle d'Amérique qu'il imputait à de très anciennes migrations...




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