mercredi 9 juin 2021

LE PROBLÈME DE LA CRÉDIBILITÉ DE L'ASTROLOGIE (le Dossier Fauci)

 LE PROBLÈME DE LA CRÉDIBILITÉ DE L'ASTROLOGIE

Je voudrais relater un épisode de ma vie personnelle qui a fait date et dont j'ai déjà parlé à propos de Saturne-Pluton et "l'hécatombe" qui avait eu lieu autour de moi au moment où a émergé le sida. J'étais encore jeune à l'époque, c'est à dire 31 ans à peu près. Et un bon ami à moi, de l'époque du lycée, homosexuel je le précise, avait été diagnostiqué "positif" au test du sida. Certes, en tant que jeune homosexuel, il ne menait pas une vie monastique, pas plus que son meilleur ami, aussi homosexuel qui, lui, n'a pas été testé positif. 

 Nous étions début 1993, il était venu me consulter comme astrologue et je n'avais que de bonnes nouvelles à lui annoncer puisque Jupiter allait entrer dans le signe de la Balance. C'était son signe solaire et Ascendant. Il faut préciser donc que lorsque j'ai écrit "Coronavirus, Chronique d'une Crise Annoncée" j'étais encore dans l'ignorance de ce que cette pandémie à mis à jour. A savoir : le premier mensonge de Fauci concernant le Sida. Je vous laisse en prendre connaissance en écoutant cette vidéo d'Alexis Cossette.

Je publie parfois ici des vidéos live de VK où est Alexis Cossette et on m'a signalé dernièrement que mes lecteurs ne pouvaient y accéder ni les voir. Je copie donc ici le lien pour un accès direct si vous ne pouvez la voir directement sur le blog car sur les autres, n'ayant pas copié les liens, il m'a été difficile de les retrouver.

https://vk.com/video544172849_456239290?list=16c9624b8f7c01bfaf

 

SUITE DE CET ÉPISODE DE MA VIE

Je me souviens qu'alors que j'étais optimiste et enthousiaste dans les "prévisions" que j'avais à lui faire, mon ami, prénommé Jean Jacques, lui, était resté un peu triste et nostalgique ce qui n'était pas dans sa façon d'être habituelle. C'est une fois qu'il est parti que je me suis dit qu'il m'avait caché quelque chose et comme nous étions en pleine époque de la psychose du sida et qu'un autre ami avait été concerné, j'ai eu ce soupçon : peut être avait-il été testé positif ? Les choses en sont restées là jusqu'au mois de juillet, je crois, où la supposée maladie s'est déclarée. Nous avions été proches au lycée mais ensuite, nous nous étions un peu éloignés, moi-même vivant en couple et lui menant sa vie d'homosexuel. 

Je ne le voyais donc plus quotidiennement comme avant et je n'ai pas eu le détail concernant le moment où il a appris qu'il avait le sida. J'étais moi-même d'ailleurs prise dans cette psychose collective comme tous les trentenaires de l'époque. Notre génération, dans "la force de l'âge" a vu sa relation à l'amour complètement bouleversée durant ces sombres années, il faut le préciser, puisque ce qui était "naturel" d'un coup, se trouvait soumis à une peur venant freiner les élans amoureux. Cela fait donc "date" dans mon parcours comme dans celui de beaucoup. Et pour moi, il s'est de plus agi d'une perte affective et amicale puisqu'il est mort rapidement en septembre 1993.

Cela a donc, pour moi aussi, fait date comme prise de conscience de la fragilité de l'existence et j'ai déjà relaté ce qu'il m'avait dit sur son lit de mourant : "regardes, je pars et je n'ai même pas rencontré l'amour !" C'était la base de nos échanges et de notre amitié qui avait démarré en classe aux cours de philosophie, notamment autour de Platon et de "l'âme soeur" ! C'était d'ailleurs pour moi "une amie" bien plus qu'un homme car sa part féminine étant très développée, nous parlions souvent de sentiments... J'ai partagé "ses affres" quand il était amoureux d'un hétéro de la classe qui lui est demeuré inaccessible... Et c'est de lui que je considère avoir reçu le plus beau compliment de ma vie lorsqu'il m'a dit : "Si j'avais été femme, j'aurais aimé être toi". Plus beau compliment car : ne visant pas à me séduire.

Cet ami, fin et délicat, brocanteur décorateur, c'était "mon Proust à moi"... Il ne m'agaçait parfois que par son côté Balance-Balance ménageant constamment la chèvre et le choux, ce qui faisait parfois monter le moutarde à mon Mars-Bélier nettement plus "rentre dedans". Mais j'étais bien contente de l'avoir comme ambassadeur et comme délégué de classe pour "négocier" mes passages très délicats . Comme j'ai l'art et la manière de me mettre les imbéciles à dos et qu'il y en avait en majorité parmi mes professeurs, ça jasait dans la salle des profs. Seuls deux d'entre eux avaient mon estime, ma prof d'allemand et ma prof de sciences eco, c'est dire... Je lui devais beaucoup donc pour avoir favorisé mes passages alors qu'il faut bien le dire, je faisais essentiellement l'école buissonnière et ne venait "qu'en touriste" comme le commentaient mes professeurs sur mes carnets de note (j'aurais plutôt dit "en éthnologue" venue observer le "professorus cretinus" du XXème siècle finissant, mais...). J'avais mieux à faire que m'ennuyer en classe avec des professeurs médiocres, étudiant déjà l'astrologie à la maison. Et j'ai pris une belle revanche en ayant mon bac malgré eux et leurs mauvaises appréciations. J'ai appris que le proviseur en avait avalé sa barbe lorsqu'il l'a su !

DE L'INTÉRÊT DE VIEILLIR POUR NE PAS MOURIR IDIOT

Ayant donc appris par cet homosexuel canadien et très récemment donc que le Sida aussi était un mensonge, j'ai revisité cet épisode. Rétrospectivement, je me mets à la place de cet ami qui a dû se dire, décidément, l'astrologie, c'est pas sérieux, elle n'a même pas vu ce qu'il m'arrive ! Je pense que c'est aussi "par diplomatie" qu'il n'a pas voulu me démentir et ne m'a rien dit de ce qu'il venait d'apprendre.

J'avais bien senti que malgré les bonnes nouvelles que je lui avais annoncées, il était parti aussi triste que venu et bien plus "mystérieux" qu'à l'accoutumé ce qui ne faisait qu'ajouter à son charme, d'ailleurs. Bref, même si la vérité m'a effleurée, j'ai vite rejeté l'idée trop cruelle qu'il pouvait, lui aussi, avoir le sida. Je n'étais pas "armée" psychologiquement à l'époque encore jeune et tendre, même si j'ai fait de mon mieux ensuite pour l'accompagner jusqu'à la tombe. Je lui rendais visite autant que je pouvais à l'hopital Pasteur, et je l'ai vu passer de l'état de trentenaire bien portant à celui de malade s'autodétruisant à une rapidité fulgurante. A la fin, atteint de toxoplasmose, il n'avait plus la maîtrise de son langage et n'articulait qu'avec grande difficulté. Cela reste pour moi un cap traumatisant car, ayant le même âge, il y a eu une sorte d'identification inconsciente qui a suscité des symptômes de spasmophilie. Après sa mort, que j'ai vécu en apparence sans trop de dommage, j'ai fait de tels symptômes prouvant que mon subconscient, lui, avait été plus affecté qu'il n'y paraissait : je me levais le matin et j'avais le sentiment que mes jambes se dérobaient sous mon corps ! J'ai retrouvé mon équilibre grâce à une amie masseusse car c'est la thérapie convenant à ce type de symptôme qui ne nécessite pas de médication. Je le précise car un mauvais médecin pourrait vous prescrire stupidement des antidépresseurs, comme il le font sans analyse maintenant.

Je n'ai pas remis en doute l'astrologie après cela, mais l'ai nuancée et donné raison à ceux disant que Jupiter amplifiait le bien comme le mal. Pourtant, s'il y a bien "un consensus" en astrologie c'est pour parler des bienfaits que Jupiter apporte à un signe solaire qu'il transite tous les 12 ans ! Tous les 12 ans donc, la chance nous est donnée d'épanouir nos désirs et volontés. Doit-on en déduire que le désir et la volonté de Jean Jacques étaient de mourir ? Bien sûr que non : il avait des projets et m'a clairement exprimé son regret de partir si tôt, "avant d'avoir rencontré l'amour". Je me suis promis à la suite de ça de : vivre pour deux ! Son départ m'a fait penser qu'il n'y avait pas de temps à perdre, qu'il nous fallait profiter du temps qui nous était imparti car à tout moment "la faucheuse" sinon, pouvait nous ôter la vie. C'est donc un cap important que j'ai traversé à 31 ans...

Etant moi-même convaincue de ce mensonge du sida et peu "affermie" encore dans ma connaissance astrologique il est évident que j'aurais donné raison à cette propagande médiatique plutôt qu'à l'astrologie, mais c'est bien ici qu'au fond, il s'est joué, déjà à l'époque, : "ma parole d'astrologue, contre le mensonge médiatique !".

CONSIDÉRATIONS RÉTROSPECTIVES

A bientôt 30 ans plus tard, j'ai évolué depuis et j'ai bien rappelé au début de cette pandémie que : l'astrologie avait été la première attaquée par les Jésuites illuminati pour que son enseignement soit évincé de l'Université sous Colbert. On commence à mieux comprendre pourquoi, non ? Car si l'astrologie jouissait encore du crédit qu'elle avait à l'époque, me serais-je si facilement alignée sur ce mensonge ? Non, j'aurais maintenu mordicus que : ça n'est pas possible que tu aies le sida Jean Jacques, les astres ne me le confirment pas ! Voyez-vous la différence ? Dès cette époque, j'aurais pu sauver sa vie en lui demandant d'aller refaire un test par exemple au lieu de s'en remettre à la médecine pour le traiter ! Lui-même aurait eu davantage confiance en mon diagnostic et m'aurait sans doute confié ce qu'il avait appris ailleurs. Et de là : la face de nos destinées en auraient été changée...

Je vous demande donc d'y réfléchir et d'y méditer : le discrédit jeté sur l'astrologie est-il anecdotique et sans importance lorsqu'on voit les conséquences que cela peut avoir sur une destinée ?

J'ai rappelé pourtant que si je suis devenue conspirationniste, ce n'est pas pour avoir lu des livres sur ces questions. C'est ma pratique d'astrologue qui m'a permis d'identifier bien des mensonges médiatiques. Ce qui me fait dire qu'un authentique astrologue est OBLIGATOIREMENT conspirationniste et me laisse un peu sidérée par ces pseudos astrologues qui prétendent l'être alors qu'ils restent alignés sur ces mensonges dont ils cherchent confirmation dans l'astrologie ! On est là dans : une parfaite inversion ! Ce qui conduit à de "l'astrocalomnie" sans aucune rigueur lorsque j'observe un Bernard Duchatelle ou bien un Valérie Darmandy commenter le thème de Trump sur la foi de propos calomnieux ! 

J'ai ouvert ma propre école et écrit mes propres livres pour "relever le niveau" d'une astrologie en train de tomber dans les canivaux... Comme Breton le disait : "L'astrologie est une très belle et ancienne dame, dommage qu'à sa place trône une prostituée" car nous en étions bien là.

J'ai voulu "relever le niveau" en terme de "rigueur" déjà, agacée par ces gens prétendant défendre l'astrologie tout en étant eux-mêmes incapables du minimum de rigueur qui les mettrait à hauteur d'une approche scientifique. 

Comment pouvait-on prétendre être "crédible" par des "justifications a posteriori" ??? On ne voyait que ça à l'époque... J'ai un esprit rigoureux et ça ne passait pas auprès de moi, pourtant convaincue du bien fondé de l'astrologie, alors imaginez ce type d'argument face à des détracteurs ?

Mais dans mon école, je ne fais pas qu'enseigner "la connaissance astrologique", je veux que l'élève gagne confiance en elle car je sais qu'ils auront essentiellement affaire à des détracteurs et devront s'en défendre. Car c'est bien en ce sens que je me dis "la dernière des Mohicans" en voyant très peu ayant le niveau et la hauteur de le faire. Et encore moins pour avoir l'honnêteté et le scrupule de se former à bonne école. Il est si facile d'abuser de plus ignorant que soi... Ces gens préfèrent clairement la pente de la facilité, or j'enseigne pour ma part et dans les pas du Christ à prendre bien au contraire : le chemin de la difficulté. Et pourquoi ? Et bien justement : pour relever le niveau général...

CE N'EST PAS POUR RIEN QUE JE RAPPELLE QUE L'ASTROLOGIE EST "SCIENCE MÈRE"

Car jugeons ce que devient la pratique scientifique avec le seul pouvoir de l'argent ? Toute éthique disparaît... "Science sans conscience n'est que ruine de l'âme" ... C'est ce que je rappelle en boucle depuis plus de 20 ans, dans les pas de Rabelais, médecin et astrologue du passé. Va-t'on continuer de parler à des sourds ? Car on le sait : "là où l'argent parle, il n'y a pas d'oreille"...

Les prises de conscience favorisées par cette fausse pandémie, vont, je l'espère mettre un hola à ce chemin destructeur de l'humanité.

Et que cette phrase change en : "Science sans conscience n'est que ruine de l'homme sans éthique !"




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