ALERTE ANTIDOULEUR… LA FRANCE, MORTE SUR ORDONNANCE
"7 morts sur ordonnance", c'était le titre d'un film paru en 1975, preuve que "la magouille" était déjà présente dans la France profonde (Reims) et nous pouvons être scandalisé d'un "Ordre des Médecins" qui vient d'interdire d'exercice Martine Wonner, une des rares médecins en France, pourtant, qui sauve l'honneur de cette profession à l'heure où le monde médical a perdu les confiances et le respect ! Jusqu'où ira ce gouvernement dans l'indignité et l'iniquité ?
J'ai déjà parlé du patch quantique antidouleur, mais aujourd'hui, j'apprends qu'on met une jeune fille tombée dans un escalier sous opioïde avec le Tramadol. Il faut vraiment comprendre et intégrer le danger de ces antidouleurs et leur caractère dangereusement addictif qui vous plonge sous narcodépendance. Aux USA, de nombreuses personnes ont été réduites à l'état de "junkie toxicomane" par ces prescriptions « légales ». C'est un véritable "fléau social" concernant des personnes qui n'avaient rien de marginal, mais ont été marginalisées par ces traitements qui en ont fait des accros à l'héroïne, moins chère que ce médicament et constituant donc "un pis aller" pour ces "addict légaux" finissant par se ruiner sinon pour se procurer leur dose.
Ne nous dites pas que c'est innocent, c'est de longue date que le danger de l'opium (avec lequel l'Angletterre a tenté de nuire à la Chine) est connu et son commerce avait été INTERDIT en 1910.
Il semble donc urgent de nous ouvrir au concept de "crime légal" car malgré la triste expérience que nous avions de l'opium, la FDA a autorisé sa mise sur le marché. Je pense que si le patch quantique a aussi reçu cette autorisation, c'est bien suite aux prises de conscience générées par ce fléau social dont ils ont eu la triste primeur, car il en constitue "la parade" pour éviter de devenir junkie suite à des douleurs provoquées par un accident quelconque. Françoise Sagan, déjà, nous avait parlé de la morphine dont elle n'a jamais pu se libérer car c'est très difficile si on est pas aidé dans un centre de désintoxication. Si les américains sont plus "conspirationnistes" en soutenant Trump, c'est surtout parce qu'ils sont les premiers à subir les méfaits de ces escrocs criminels et donc à en être les victimes. C’est aux USA qu’est né un mouvement « anti-vax » suite aux nombreux enfants autistes créés par les vaccins (ce qu’on ignore encore en France).
En France, on se berce encore de l'illusion de vivre sous l'autorité d'un pouvoir bienveillant et protecteur, ce qui est le contraire de la vérité. La France peut être considérée comme "le foyer" de cette mafia.
https://www.youtube.com/watch?v=emVVHu_gb7c&t=309s
L'héroïne est connue pour être la drogue la plus addictive, mais justement, ceux qui passent par les opïoides, 60 fois plus puissants, aux USA doivent dépenser des sommes folles et évoluent vers la déchéance. Ils deviennent héroïnomanes car l'héroïne leur revient moins cher ! On voit des familles entières errer dans les rues comme des zombies hagards et pliés en 2, des enfants en bas âge sont victimes de l'état de leurs parents, ce qui est monstrueux. Car il faut comprendre qu'avec l'addiction, bigpharma se crée des "consommateurs captifs" comme on dit, qui leur assure de vendre leurs médicaments. Donc, ce n'est pas abuser que de qualifier désormais les médecins comme de simples "dealers de drogue" à la solde de Bigpharma comme une cousine infirmière me l'avait dit, il y a longtemps maintenant.
Et pourtant, on vous le rappelle ? En France on incarcère les individus pour la possession de cannabis alors qu'on parle maintenant de "Cannabis thérapeutique" car c'est son usage d'origine comme je l'ai découvert, scandalisée, en Amérique du Sud où l'on fabrique des pommade antidouleur à base de Cannabis. Ils auraient pu vous le dire plus tôt, non ? J’avais ouvert une page Facebook de réinformation sur le sujet en 2015, tant ça m’avait scandalisée de découvrir ça. Depuis lors, on commence à le légaliser. Car le Cannabis antidouleur ne provoque, lui, aucune addiction ni effet secondaire ! Ce qui est bien sûr moins rentable du point de vue de cette industrie, on peut le comprendre car alors : le client n'est pas "captif" comme ceux tombant dans la narcodépendance.
Voilà un documentaire qui permet de mesurer l'ampleur du fléau N°1 aux USA.
Ces entreprises ont mis la clé sous la porte suite aux nombreuses attaques en justice, mais sont venues s'installer en Europe et en Amérique Latine qui sont menacés du même phénomène.
Une élève me dit : « Et dire que la majorité des gens pensent que Bigpharma leur veut du bien... »
Je réponds : "oui, c'est bien là qu'il doit y avoir "remise en question" de nos idées reçues dont je parle depuis la conjonction Saturne/Pluton de 2020. Il faut en réalité s'ouvrir au concept de "crime légal" car ces gens tuent en toute légalité, ce qui m'a fait parler de "crime parfait" dans mon PDF « Coronavirus, Chronique d’une Crise Annoncée » (censuré par Amazon en 2020, au prétexte qu'il n'était pas "conforme à la vérité officielle" bien entendu, puisque je mettais en garde contre le vaccin !). Car actuellement, concernant les effets secondaires des vaccins : ils empêchent la remontée d'information et de faire le lien entre la hausse du taux de mortalité et la vaccination. Ils rangent ça dans "cancer" par exemple sans dire que la récidive est dûe au vaccin, idem pour les crises cardiaques, etc. "
RETOUR D'EXPÉRIENCE DU PATCH
Cela
fait à présent 5 à 6 mois que nous avons constitué un groupe
d'usagers du patch pour en partager notre expérience sur VK. Car il
s'est avéré qu'un "accompagnement psychologique" était
indispensable. Il en est ressorti qu'il a été en apparence sans
effet sur 2 personnes sur 15, dont mon assistante Elisabeth. Pourquoi ?
Parce qu'en réalité, la "crise de guérison" a mis à
jour des palpitations que le patch n'a pu calmer. Pourquoi ? Parce
qu'il s'est avéré qu'elle est retombée en narcodépendance avec
les benzodiazépines après en avoir pris très peu pourtant en juin 2022. Elle s'en était pourtant déjà sevré avant son entrée dans l'école en 2001.
Elle nous avait déjà parlé à son entrée dans l’école de l’enfer de son sevrage, après en avoir pris 18 ans. Et je m’étonnais donc, que malgré cette crise, elle soit restée à l’écoute de ces médecins qui lui prescrivaient de l’Effexor. Il m’a suffi d’une rapide recherche sur internet en la « coachant » pour découvrir que c’était cet antidépresseur lui-même qui lui provoquait des palpitations qu’elle croyait calmer en y ajoutant des Témesta. Elle me disait : « Non, mais je me connais, c’est comme ça que je fais à chaque fois » Inconsciente en réalité d’être embringuée dans la logique du cercle vicieux d’une « narcodépendance » que j’ai fini par identifier à force d’échange où j’ai eu le sentiment de parler avec « un produit » tant ses réactions me paraissaient irrationnelles.
Car en matière de « dépendance », il y a la dépendance physique (le corps crée des symptômes douloureux de manque) mais aussi psychologique. Le suivi psychologique s’est donc avéré indispensable en plus du patch car, sans mon accompagnement, elle restait sous la coupe de ces empoisonneurs auxquels elle était habituée, car c’était une quasi « tradition familiale » sa mère ayant beaucoup d’admiration pour le monde médical.
Ca m’a paru incroyable que bien qu’ayant suivi mes articles accompagnant cette crise, Elisabeth n’ait pas développé, comme il se doit : « La terreur de la blouse blanche ». Non, elle était en pleine régression infantile -car fragilisée par son état-, et évidemment, on cherche la moindre planche de salut « rassurante » dans ce cas, et, par habitude, ces rendez-vous étaient pour elle « rassurants ». Sauf que si elle avait pu ouvrir les yeux sur la vraie nature du mal, elle ne serait pas retournée les voir ! Mais elle était clairement sous leur emprise, ce dont je l’ai aidé à prendre conscience.
Pour revenir au Patch, il est antidouleur, mais on a jamais dit qu’il servirait à un sevrage de drogue. Il faut d'abord supprimer la cause de la douleur si quelque chose la provoque et qu'elle n'est pas "naturelle" comme après un choc ou un coup. Car, dans les 2 cas réfractaires au bienfait du patch, c’est bien cela qui a été mis à jour : des symptômes étranges et persistants, malgré la pose du patch. Alors que je peux, moi, garantir son effet antidouleur pour l'avoir aussi expérimenté. Cela a donc mis à jour : l’autre cause. Celle de la narcodépendance. De ce point de vue, on peut parler de « crise de guérison » car il fallait clairement en finir avec ça ! Bien qu’Elisabeth soit déjà passée par un sevrage, à la moindre fragilité : elle a replongé. Elle n’avait pas encore compris que ce sont les médicaments eux-mêmes qui avaient détraqué son système nerveux et suscitaient son mal être ! Une vidéo de Thierry Casasnova très bien faite sur le sujet permet d’en prendre conscience !
L’autre personne, elle, est sous cachet aux morphines et atteinte de MAGA, une maladie récente très certainement aussi créée par les médicaments. Voici ce qu’en dit wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Syndrome_d'activation_mastocytaire. Et on peut être certain que « les chercheurs », sauf s’ils sont indépendants comme il en existe encore heureusement, ne feront jamais cette conclusion. Il est plutôt dans leur habitude de créer un nouveau médicament toxique prétendant vous guérir des méfaits du précédant. Seul Bigpharma bénéficie de ce cercle vicieux, certainement pas nos santés qui finissent par ajouter des toxiques aux toxiques dans le vain espoir d'une très hypothétique guérison car c'est plutôt le chemin assuré du cancer ou d'alzheimer...
Bref, cette personne a rapidement lâché le patch pour revenir à la morphine en augmentant les doses car le patch ne lui a apporté aucune bienfait. Mais c’est moi qui l’éveille au fait qu’il y a de fortes de chance qu’elle soit, elle aussi, devenue narcodépendante comme Elisabeth, obligée d’aller dans un centre pour se désintoxiquer. Car il y a toute probabilité que pour elle aussi, ce soit le manque consécutif à sa diminution des doses de morphine qui a pu susciter un mal être accru et des douleurs. Ce qu’elle ne pourra identifier par elle-même que si elle est pleinement et correctement informée des conséquences du « manque » que connaissent les drogués mais ignorées de beaucoup. Il est donc important de réinformer sur le sujet car, n’étant pas passé moi-même par cette expérience, je comprenais mal ce que disait Elisabeth. Un addictologue de métier, lui, connaît très bien le sujet à ma différence et c’est donc à ce type de spécialiste qu’il faut s’adresser après mon coaching santé.
LES SYMPTOMES DU MANQUE DE DROGUE
Voilà donc ce que Elisabeth nous expose comme « symptômes du manque » et on verra qu’ils sont assez « sévères » sans être pour autant suffisamment remarquables pour les identifier si on est pas informé par une personne déjà passée par là : « Pour les symptômes du sevrage : il y a un état de manque qui se manifeste par des douleurs physiques : le corps qui "chauffe"(pour ce qui me concerne c'est sur les bras, dans le dos et sur la poitrine) on peut ressentir des "tiraillements" dans la tête, des douleurs dans le ventre qui "serre". Des essoufflements aussi. On peut avoir les "jambes coupées" et puis bien sûr on est très fatigué parce que cela prend beaucoup d'énergie au corps. Le sevrage peut aussi couper l'appétit. Et puis les insomnies qui obligent à prendre des somnifères. Il faut respecter la dose définie pour le sevrage et ne pas céder aux crises de manque et les symptômes passent petit à petit. Cela se passe par pallier de 10 jours en général mais il peut y avoir une pause du sevrage si c'est trop dur et on recommence ensuite. Il y a les palpitations aussi plus ou moins fortes. Pour les calmer il faut travailler avec la respiration. Faire de la respiration en cohérence cardiaque : il y a des vidéos sur internet qui sont très bien. Personnellement je fais de la relaxation avec la respiration et de la musique douce. Voilà globalement les symptômes en tout cas ceux que j'ai. »
Le problème est que les victimes de tels médicaments addictifs seront les dernières à penser à aller consulter un addictologue puisqu’elles n’ont pas le profil du « drogué » type. Il faudra tout d’abord un « suivi psychologique » pour aider à passer le cap (d’où l’intérêt d’un "coaching" ou "accompagnement") de la première étape du « déni » qui fait que l’on peine à se reconnaître pour tel, car ça nous associe aux drogués et aux marginaux alors qu’on a mené une vie normale de bon citoyen. Les victimes, seront donc en général, les dernières, sinon, à aller à taper à la porte d’un addictologue susceptible de les aider. Ce sont pourtant les vrais « spécialistes » qui savent, eux, la façon dont on peut progressivement se libérer selon un protocole très précis. S’en libérer seul, sinon, est quasi impossible.
Je publie ici 2 vidéos, mais il y en a d’autres sur Youtube sur le même sujet que je vous invite à voir, car oui, le danger vient de ces médecins qui prescrivent ces médicaments comme des bombons sans aucunement mettre en garde sur les dangers de l’addiction. Fort heureusement, il existe des centres de désintoxication, mais dans le centre où est Elisabeth : on continue de prescrire de l’Effexor aux dépressifs ! Alors que la revue Prescrire alerte de son danger car il peut provoquer une crise cardiaque. Voyez l’absurdité de ce système qui d’un côté vous drogue sans scrupule et en toute irresponsabilité, pour vous envoyer ensuite en centre de désintoxication ! En attendant : ça fait des victimes et des morts, et surtout : un salaire pour le personnel de santé et d'insolents revenus pour les actionnaires de BigPharma.
LA SOCIÉTÉ ENTIÈRE EST DEVENUE TOXIQUE
Je trouve très grave que l’on mette des jeunes de 13 ans sous antidépresseur, mais la télévision tend à vous dire que c'est normal, c'est comme ça maintenant. C’est pourtant la garantie qu’ils auront à vivre un même « parcours santé » malheureux qu’Elisabeth à l’avenir. Car, pour les benzodiazépines, on vous dit : « A l’époque, on ne savait pas ». Oui, mais maintenant : vous savez, et alors ? Pourquoi continuez vous de les prescrire si ce n’est qu’on vous paie pour ça comme de vulgaires dealers ?
Ce n’est pas Martine Wonner qui doit être interdite d’exercer, ce sont tous ces médecins irresponsables qui doivent être mis en prison pour crime ! Ils pourraient se grouper pour s’opposer au terrorisme des menaces d’un « Ordre des Médecins » qui n’est qu’un reliquat de l’ancienne inquisition et date du collabo Pétain pour mieux diriger des expériences criminelles nazies ! Ce courage-là, même : ils ne l’ont pas, préférant « courber l’échine » face à ces indignes, ce que n’a pas fait Martine Wonner qui a été jusqu’au fin fond de la Bretagne pour donner l’alerte sur les vaccins, ce dont on peut lui être reconnaissant.
C’est bien l’Ordre des Médecins qu’il faut menacer du « bûcher » et non pas les rares médecins courageux et honnêtes que nous avons pu découvrir à la faveur de cette fausse pandémie.
Quoi qu’il en soit, mon « mot d’ordre » actuel est de dire l’urgence qu’il y a pour tout un chacun de prendre en main et se responsabiliser face à sa propre santé pour ne plus avoir à vous en remettre à ces « bouchers empoisonneurs » !
Mon
école forme des « astrothérapeutes » car c’est depuis
longtemps que je parle du caractère « thérapeutique »
de mon enseignement astrologique, selon l’affirmation de
Platon disant : « Tout d’abord soigner l’âme ».
C’est aussi depuis le début de cette fausse pandémie que je
rappelle à qui veut bien l’entendre que selon l’injonction
d’Hippocrate disant : « Nul ne peut se dire médecin
s’il n’est aussi astrologue », on l’enseignait à
l’université aux médecins jusqu’à Colbert et que c’est suite
à la pression des Jésuites-illuminati qu’on l’a chassée de
l’enseignement universitaire. Ce qui date, selon moi, le début de
la décadence matérialiste de la médecine. Vous pouvez donc être
certain de ne jamais voir des astrothérapeutes invités à de telles
émissions alors que, comme les naturopathes, ils sont bien plus
inoffensifs et respectent le serment d’Hippocrate qui dit :
« Tout d’abord ne pas nuire ». Seuls les authentiques psychothérapeutes utilisent mes livres depuis 30 ans pour aider leurs patients.
TOUS LES ANTIDOULEURS DU MARCHÉ SONT TOXIQUES
Ce patch quantique, issu d'une recherche coréenne, est le premier moyen d’éviter leurs antidouleurs toxiques car : tous sont plein d’effets secondaires, même s’ils ne sont pas addictifs… Si on doit les utiliser quotidiennement durant une longue période, ils vous détruiront ou bien le coeur (Ibuprofène), ou bien le foie pour ce qui est du Paracétamol. Tout le monde devrait donc avoir ce patch chez lui, car une élève dont la mère vaccinée a fait une chute, a été opérée et mise sous Tramadol depuis 2 mois. C’est ce qu’il risque de vous arriver si vous n’avez pas cette solution alternative sans aucun danger sous la main, un accident est si vite arrivé, surtout aux vaccinés…
Je le redis : la France est un des pays où l’on trouve le plus grand nombre de consommateurs de psychotrope et on s’étonne de sa léthargie ? Moi qui suis consciente de la situation, je dis : les vaccins n’ont fait qu’achever le travail de destruction du peuple, lequel a été déjà bien entamé par la propagation de ces psychotropes depuis 50 ans. Merci la « psy freudienne » qui n’a que cette réponse médicamenteuse pour les gens en souffrance. Thierry Casasnova a raison : n’allez pas consulter un psychiatre en cas d’angoisse ou de mal être. Il n’aura que ça à vous donner comme pseudo « remède » et commencer à les prendre sera le début de votre fin...
L’EXPÉRIENCE D’ELISABETH DOIT SERVIR A TOUS !
Elisabeth
a commencé comme ça, suite à une grossesse ayant donné un mort né à 23 ans, et à 64 ans, elle trimballe encore le
problème ! Malgré sa pratique astrologique et ma présence à
ses côtés, comment aurait-elle pu réellement opérer « une
prise de conscience » tandis que ces médicaments vous coupent
des émotions ? Ces émotions doivent logiquement nourrir le mental pour alimenter
ces « prises de conscience » selon notre constitution "normale" créée par le divin. J'insiste pour souligner "divin" car c'est bien pour observer par l'étude scientifique la merveilleuse horloge biologique qu'est l'humain que l'on peut concevoir une foi en "un ordre supérieur" ! Qui sont ces gens qui voudraient vous convaincre que vous êtes nés "détraqués" et que vous avez besoin de leur médicament pour vous "réparer" comme un vulgaire robot ??? Ces charlatans étaient parvenus à convaincre Elisabeth qu'elle aurait eu un défaut de fabrication au cerveau nuisant à son équilibre biologique ! Et, parce qu'elle était jeune et fragilisée, elle les a cru bien qu'ils ne lui aient fait aucune radio ni analyse pour lui faire une telle affirmation ! Ceci s'appelle : de l'abus de confiance ou de faiblesse.
Je lui ai rappelé donc, que si j'avais dû leur faire confiance, j'aurais aussi considéré mon corps stupide à faire du mauvais cholestérol et j'aurais pris leurs statines toxiques ! Bien au contraire, j'ai gardé confiance en ma biologie et c'est la science qui a changé de discours en nous disant à présent qu'un haut cholestérol n'est pas obligatoirement la cause d'une crise cardiaque comme on le croyait, mais que le cholestérol, au finish, lorsqu'on prend de l'âge, va venir nourrir le cerveau qui sera moins alimenté par les hormones. Alors ? Ne suis-je pas "un génie scientifique" pour n'avoir pas cru à une thèse erronée là où tout le monde l'a gobé dans le monde médical ? Un bon médecin, pourtant, se doit d'avoir de l'intuition pour établir un diagnostique. En tout cas, là où Elisabeth travaillait à son éveil d’un côté, le frein à main était enclenché de l’autre : c’était impossible ! C’est dire comme on nuit bien aux âmes en France...
Mais enfin, comment peut-on trouver normal que des jeunes meurent de cancer ou de crise cardiaque ? Ca n’existait pas dans ma jeunesse, ça ne vous met pas un peu la puce à l’oreille de savoir ça ? Non ? Et bien c’est que vous dormez à point fermé sous l’effet de l’hypnose télévisuelle à laquelle s’ajoute ces stupéfiants légaux, voilà tout.
https://vk.com/laurence.larzul
Pour se procurer mes livres, c'est ici : https://www.lulu.com/fr/spotlight/laurencelarzul
DERNIÈRE MINUTE, Elisabeth me transmet le lien d'une chaîne Youtube dédiée à l'aide de ceux qui en sont à l'étape du sevrage. Nous vivons une époque formidable avec internet qui permet une véritable entraide entre simples citoyens lambda, je dis bravo à son initiative. Elle vous communique d'autres lectures sur le sujet sous sa vidéo.
https://www.youtube.com/watch?v=Dfr7hFpUtOQ
Ici, le lien sur son site, où vous pourrez lire le témoignage de son expérience tout à fait effrayante des services psychiatriques qui ont fait croire que les symptomes du manque étaient le début de sa maladie mentale. Des criminels on vous dit ! : http://psychotropes.info/wordpress/
Voilà les conclusions de son témoignage sur son site (je recommande à tous de le lire car il est édifiant !), à lire cela, je me rends compte aussi que ce qui a fait ma force, face à ces manipulations, c'est que j'avais très jeune fait un test de QI me classant parmi les surdoués, ce qui, en plus de mes connaissances astrologiques acquises dès l'adolescence (justement suite à un état dépressif dont je me suis auto-guérie ainsi), m'a mise à l'abri de ces diverses manipulations car je savais pouvoir me faire confiance, à moi, avant même de les écouter. C'est donc un aspect très important quand on voit qu'ils parviennent à vous convaincre de "maladie mentale" ! Quant à la question qu'elle pose à la fin, et bien il faut être devenu "conspirationniste" pour le comprendre et voilà pourquoi j'ai partagé des vidéos sur l'infiltration des juifs dans l'enseignement universitaire américain après la guerre, et la psy freudienne par rapport à l'approche de C.G. Jung qui pratiquait l'astrologie comme tout médecin formé "à l'ancienne" se devrait de le faire car sa thérapie, lorsqu'on la connait, puise directement à la Tradition Médicale que je connais aussi depuis l'adolescence. On trouve sur Youtube des vidéos très bien faites pour dénoncer le charlatanisme historique de la psychiatrie, surtout utilisée par le pouvoir contre tous les dissidents et libres penseurs. Mais, je le rappelle : non seulement l'astrologie est socialement dénigrée, mais une école comme la mienne ne bénéficie d'aucune aide ni subvention, à la différence de toutes ces organisations supposément "de santé". Et c'est pour dénoncer tout cela que je me retrouve calomniée sous faux profil, persécutée par la malveillance d'un troll informaticien à la solde de ces gens mais se faisant passer pour astrologue tandis qu'il ne cherche qu'à nuire à ma bonne réputation, comme il l'avait fait en 2019 en mettant de faux "avis" négatifs sur ma page auteur de FB. Il faut être conscient de la fourberie et de la sournoiserie de ces gens...
En tout cas, si le monde doit changer, recommandez plutôt à vos enfants, s'ils se sentent la vocation d'aider les autres, de se former en naturopathie et en astrologie dès maintenant, pour créer de nouvelles générations de thérapeutes plus "SAINS". Le futur, c'est dès maintenant qu'il se bâtit.
http://psychotropes.info/wordpress/mon-temoignage/25-resume-et-conclusion/
Une petite dernière pour rire de l'affirmation de ces charlatans. Comme très bien dit : non, ils possèdent les médias et s'en servent pour vous faire croire n'importe quoi !
PARCE QUE "LA SCIENCE", C'EST MOI ! C'est de longue date que je dis "faire corps avec ma science", il faut savoir ce que cela veut dire... Un esprit sain dans un corps sain.